A propos …
Bonjour ! je suis buraliste et je voudrais ici consigner non pas les incivilités , mais plutôt l’humour et la drôlerie des situations rencontrées. Lire la Suite
A propos …
Bonjour ! je suis buraliste et je voudrais ici consigner non pas les incivilités , mais plutôt l’humour et la drôlerie des situations rencontrées. Lire la Suite
pendant le Covid , on portait tous le masque lorsqu’on sortait de chez soi
C’était une période que j’ai vécue du fond de ma grotte , après le décès de Philippe et donc ce masque ne me gênait au contraire
je me cachais derrière
J’étais dans mes sombres pensées dans le tramway , cheveux coupés très courts sans lunettes les yeux dans le vide quand un ancien client du tabac Brancas , un homme vivant dans la rue sans doute , souvent ivre , me manquant régulièrement de respect me fit un clin d’œil pour me signifier qu’il m’avait reconnue.
Enlevant même son masque pour que je le reconnaisse
Devant mon impassibilité , il en a rajouté et que je te tire la langue , et clin d’œil à gauche et clin d’œil à droite.
il a fini par hausser les épaules désespéré que je ne le reconnaisse pas.
En y repensant des années après je me dis que cette bluettes a sa place ici .
Mème si le fonds est triste je ne peux m’empêcher d’esquisser un léger sourire en pensant aux mimiques de ce personnages me signifiant qu’il m’avait reconnue
Je ne sais pas si vous avez remarqué
mais les enfants non plus les bébés
ont encore des teuteutes , des tétines jusqu’a un âge avancé voir 4/5 ans
Est ce pour qu’ils se calment avec le nombres incessants d’hyper actifs ou qu’ils fichent la paix aux parents? Ou bien ces enfsnts ne veulent -ils plus grandir pressentant un environnement pas trop réjouissant genre syndrome de Peter pan
L’imaginaire étant plus réconfortant
Ce qui est remarquable cependant c’est qu’ils ont les mains libres pour jouer avec le portable des grands !
Drôle d’époque
Bonsoir je ne comprends que mon article soit publié sur le site de limonasblog alors que c’est moi burolire qui ait écrit ce texte pour mon frère
Un après midi au Pilori , nous étions comme. Élus au magasin avec Philippe . Un petit moment de répit …
Un homme entre alors dans le magasin
Un long couloir
Arrivé à la caisse , ce Monsieur nous demande des petits bonbons à la violettes
A peine à t il fini sa demande que Philippe et moi sans trop savoir pourquoi éclatons de rire
Et ce fou rire a dure un certain temps
J’ai pris sur moi et fais un gros effort au Monsieur qui se demandait bien pourquoi sa demande nous faisait autant rire mais que voulez vous il y a des jours comme cela ou on rit ou on pleure pour un rien
Le client est parti en pensant sûrement que nous étions fous …
Quand un autre client est rentre , nous rions encore et ainsi de suite et cela a duré tant et si bien qu’au bout d’un moment nous ne savions plus vraiment pourquoi nous étions en train de rire
Il y a peu avant que Philippe ne parte
Il etait à regarder lla TV et je lui ai dit » tu veux un petit bonbon à la violette »
Et cela l’a fait sourire des années après
Lui non plus n’avait pas oublié
Avec Philippe, nous avons partagé 14 années derrière un comptoir exigüe ce n’était pas toujours facile Quand on avait beaucoup de monde nos mains s’en mêlaient Cette proximité vue de l’extérieur faisait penser à un couple de buraliste mais non, nous étions frères et sœurs Et cela nous irritait un peu quand un client disait […]
C’est mon petit frère — blagues-blagounettes-au – bureau- de-tabac.com
Avec Philippe, nous avons partagé 14 années derrière un comptoir exigüe ce n’était pas toujours facile
Quand on avait beaucoup de monde nos mains s’en mêlaient
Cette proximité vue de l’extérieur faisait penser à un couple de buraliste mais non, nous étions frères et sœurs
Et cela nous irritait un peu quand un client disait « j’ai vu votre femme » surtout que Philippe était beaucoup plus jeune que moi
C’était Macron avant l’heure Et c’était idem pour moi
Difficile de dragouiller comme disait Philippe. Cela nous agaçait un peu
Nous avions un client qui imprimait des tee-shirt
On lui en a fait imprimer deux : un qui portait l’inscription »c’est ma grande sœur « et un autre ou était écrit » c’est mon petit frère »
Le tout orné de dessins humoristiques une souris pour moi et un chat pour philippe
Le hic c’est quand on.se. retrouvait seul en caisse avec le fameux t shirt sur le dos !
C’était cocasse .. genre non sens anglais !
Voici une ne nouvelle anecdote du temps du Pilori
Un matin philippe est revenu de la banque
Avec un large sourire , limite le fou rire
Je le regarde arrive , étonnée
Il arrive près de moi après avoir passé l’étroit passage qui mène au comptoir
Ce petit aparté pour ceux qui se souviennent
du magasin
Il me dit » qu’est ce qu non a ri avec Catherine ce matin !
On a cru que tu avais plastifier les billets «
En effet comme je n’avais plus de bracelets , j’ai utilisé des attaches en plastiques transparentes
Moi j’étais contente de ma trouvaille comme substitut de bracelets plastiques
J’étais loin de penser que cela déclencherait une telle bonne humeur
Et j’en étais ravie
Un après-midi, au tabac du Pilori , nous étions seuls dans la boutique, Philippe et moi.
Un long couloir
un petit moment d’accalmie
Un client entre et s’avance jusqu’à la caisse
Il nous demande « Avez vous des petits bonbons à la violettes? »
Et là, allez savoir pourquoi nous sommes pris d’un fou rire, il y a des jours comme cela on rit ou on pleure pour rien.
Nous répondons comme nous pouvons à ce client qui a dû nous prendre pour des fous….
Au client suivant, le fou rire continue et continue jusqu’à ne plus savoir vraiment pourquoi nous sommes en train de rire.
Il y a peu, avant que Philippe ne parte, il regardait la tv je lui ai demandé « Veux tu des petits bonbons à la violette »
Il a souri il s’en souvenait ….
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A propos …
Bonjour ! je suis buraliste et je voudrais ici consigner non pas les incivilités ,mais plutôt l’humour et la drôlerie des situations rencontrées.
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Au tout début de notre collaboration
Philippe et moi étions comme des enfants dans un bureau de tabac avec de la confiserie
On goûtait à tout , on se lançait des défis
Comme celui de se verser tout un sachet de sktlles dans sa bouche
On etait bien parti un après midi calme
On avait limite un filet rouge et sucre qui perlait à la commisures des lèvres
Une cliente est entrée , j’avoue que je ne sais plus ce qu’elle voulait
Philippe n’a pas pu lui répondre et moi j’ai eu beaucoup de mal
Elle est partie avec son renseignement tout en nous disant nous enviant presque
» Ah vous dégustez ! »